La prisonnière rebelle, Trich Morey

Résumé :

Sophie est aux anges lorsque son frère lui demande d'organiser son mariage. Mais sa joie fond comme neige au soleil devant l'hostilité de Daniel Caruana, le frère de la future mariée. En effet, ce richissime homme d'affaires semble, sans qu'elle en comprenne la raison, très opposé à cette union. Aussi, lorsqu'il lui demande de l'accompagner sur une île paradisiaque où il consentirait que les noces aient lieu, s'empresse-t-elle d'accepter. dans l'espoir de l'amadouer. Mais, une fois sur place, elle comprend très vite qu'il lui a tendu un piège...


Avis :

Lilie était tellement déçue que pour le défi lecture je trichouille (mais je suis pas la seule à le faire hein) en choisissant un titre dans la collection Red Dress Ink que je lui avait promis de lire un vrai Harlequin, collection azur. Du vrai de vrai quoi.
Et je suis peut-être une tricheuse, mais je tiens mes promesses. Pauvre de moi. Me voilà donc avec « la prisonnière rebelle », tout un programme.

Je vous résume l’histoire rapidement.
Sophie est organisatrice de mariage, et de celui de son frère en particulier. Et il se trouve que ce dernier est en froid avec son futur beau-frère, le riche et puissant Daniel. Sophie va le rencontrer pour tenter de renouer le dialogue entre eux et faire en sorte qu’il accepte ce mariage. Bien sûr, une fois face à lui, elle ne pourra résister à son « charme viril » ni à son « corps de Dieu grec ». Quant à lui, il va malgré lui céder à « son corps de liane » et ses yeux « si mystérieux ombragés de longs cils bruns ».

Wow, c’est un choc un Harlequin en fait ! Passées les descriptions à deux balles (pardon, à 30 cents, faut vivre avec son temps), l’histoire est épaisse comme une feuille de papier à cigarettes slim, c’est dire. Heureusement, ce bouquin a le mérite d’être très drôle, bien que je ne sois pas sûre que ce soit une volonté de l’auteure ! Heureusement, un peu de second degré est salvateur.

Au final, mon petit cœur n’a hélas pas palpité au rythme de ceux des héros, je ne suis pas convaincue par la collection azur, mais j’ai honoré ma promesse, donc l’honneur est sauf. Tout est bien, qui finit bien !

Commentaires

  1. Ah, toi non plus tu ne continueras pas dans cette voie ? :D

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  2. Vous m'en voudrez si je triche et que je fais comme si je ne savais pas que la collection azur existe ?

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  3. Nan Siana :p

    @ Tan : je vais peut-être pousser l'expérience jusqu'à me faire un de la collection Audace ;)

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  4. Ah j'aime les gens qui tiennent leurs promesses, ça fait plaisir, lol!

    Au moins tu peux dire que tu l'as fait comme si tu revenais de la guerre!

    Et je sais que tu n'es pas la seule à avoir pris un Red Ink, c'est vrai que ça me désole mais vu que c'est chez Harlequin, je peux pas dire grand chose...

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  5. Mais carrément, je me sens l'âme d'un vétéran maintenant, je pourrais raconter ça à mes petits enfants lol

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  6. Et leur prêter le livre pour qu'ils vivent cette expérience extraordinaire...

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  7. Ah ben nan, même pas, je l'ai laissé dans ma location pour que d'autres puissent en profiter ^^

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  8. Et je suis sûre qu'ils t'en remercient tous les jours...

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  9. perso, je trouve qu'une fille qui s'est infusé en intraveineuse plusieurs SK ne peut que sauter de joie et hurler de bonheur avec un Azur ...hihihihihihi
    Comme tu l'as lu pour nous je vais passer mon tour, parce que j'ai un peu de mal avec cette collection...je ne veux surtout pas cracher dessus parce qu'il y a 33 ans j'étais complètement fan mais il faut dire aussi qu'on avait pas grand chose en romance à se mettre sous la dent alors 4 bouquins de cette collection par mois, oui oui on sautait dessus..sinon il y avait les romans-photos...je parie que vous les jeunettes n'avez pas connu....ah grand moment de lecture je n'ai jamais pu m'y faire, c'était balaise au niveau dialogues si vous saviez...re Hihihihi

    un grand bravo quand même pour ta dévotion.....(totale dévotion ? clin d'oeil...)

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  10. Ah mais c'est clair qu'un Azur, à côté d'un SK, c'est que du bonheur. Les phrases ont un sens, il y a une vraie histoire, les hommes ne traitent pas les femmes plus bas que terre, nan, vraiment j'ai été dure à l'époque de cette chronique, je le reconnais !

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