Une passion hors du temps, Karen Marie Moning


Résumé :

En dépit de la farouche beauté des paysages, ce voyage en Écosse, en compagnie de couples du troisième âge, ne s'annonçait guère passionnant pou Gwen Cassidy. Jusqu'au moment où, telle Alice basculant dans le terrier du Lapin blanc, elle est propulsée dans un déroutant pays des merveilles. En voulant rattraper son sac tombé dans une crevasse, Gwen bascule dans le gouffre. Sa chute réveille un mystérieux Highlander qui dormait au fond de l'anfractuosité. Un sort jeté cinq siècles plus tôt a plongé Drustan MacKeltar dans un sommeil surnaturel Lorsqu'il reprend conscience, Drustan n'a pas la moindre idée de ce qui lui est arrivé. Mais la délicieuse jeune fille qui lui est tombée dessus lui paraît tout à fait fascinante, avec ses idées extravagantes et ses vêtements si impudiques


Avis :

Karen, Karen, Karen… Tu m’as fait vibrer, pleurer, baver, trembler, hurler de frustration ou de joie avec ta série Fièvre. Du coup, je t’en veux dix fois plus de ne pas être au rendez-vous cette fois-ci. Les Highlanders, c’est bien gentil, mais tellement loin de ce que j’ai pu éprouver en lisant les aventures de Mac et Barrons que la déception est d’autant plus grande…

Dans Une passion hors du temps, l’histoire est certes originale, je veux bien le concéder. Une jeune femme qui se retrouve catapultée au XVIème siècle, rompt sans le faire exprès une malédiction, et rencontre le maaaaaaagnifique homme en kilt (mais néanmoins viril) qu’elle vient ainsi de délivrer. Au départ ils ne se comprennent pas, lui est un barbare, elle une jeune femme civilisée (imaginez le choc des cultures), mais forcément…
Même si l’héroïne, Gwen, est touchante, même s’il y a une bonne dose d’humour, et malgré la plume de KMM, je n’ai pas vraiment accroché. Leur idylle est trop facile, trop rapide, j’ai retrouvé pas mal de clichés du genre. Le héros est une bête de sensualité à fort pouvoir d’attraction, l’héroïne est pleine de failles, mais néanmoins forte, et va s’épanouir dans ses bras, etc… Leurs réparties et leur décalage culturel sont amusants, mais hélas, ce livre reste tout juste plaisant, je n’ai pas retrouvé cette effervescence qui s’emparait de moi quand j’ouvrais une livre de la série Fièvre.
Dans la même série, j’avais déjà lu une Le pacte MacKeltar et La punition d’Adam Black, et je persiste à dire que c’est loin d’être ce qu’elle fait de mieux.



Commentaires

  1. Cette série est antérieure à celle de Fièvre donc quelque part, elle s'est améliorée avec le temps.

    Pour moi, ce tome est le moins réussit de cette série car too much.

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    Réponses
    1. Oh ben alors vivement sa prochaine série ^^ Cela dit je me demande si mon petit coeur survivrait à ses cliffhangers...

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